BEGIN:VCALENDAR VERSION:2.0 PRODID:-//213.186.33.40//NONSGML kigkonsult.se iCalcreator 2.26.9// CALSCALE:GREGORIAN METHOD:PUBLISH X-FROM-URL:https://ccjt.fr X-WR-TIMEZONE:Europe/Paris BEGIN:VTIMEZONE TZID:Europe/Paris X-LIC-LOCATION:Europe/Paris BEGIN:STANDARD DTSTART:20241027T030000 TZOFFSETFROM:+0200 TZOFFSETTO:+0100 RDATE:20251026T030000 TZNAME:CET END:STANDARD BEGIN:DAYLIGHT DTSTART:20240331T020000 TZOFFSETFROM:+0100 TZOFFSETTO:+0200 RDATE:20250330T020000 TZNAME:CEST END:DAYLIGHT END:VTIMEZONE BEGIN:VEVENT UID:ai1ec-6838@ccjt.fr DTSTAMP:20240914T043325Z CATEGORIES: CONTACT: DESCRIPTION:Photographie – Du mercredi 22 septembre au samedi 30 octobre► V ERNISSAGE LE MERCREDI 22 SEPTEMBRE À 18H30\n\n\n\n\n\n\n\n\nIl me semble q ue l’être humain traverse la vie comme nous respirons. Pas assez plein\, t rop vide\, pas assez vide\, trop plein\, contraction\, relâchement\, notre corps et notre âme ondulent au gré des oscillations du « réel ». Celui vé cu tout comme celui que nous nous imaginons.\n\n\n\n\nInspirer : se gorger d’énergie et pourtant prendre ce qui vient sans avoir conscience immédiat ement de ce dont il s’agit. Expirer : se défaire des tensions\, bonnes ou mauvaises\, expulser au possible ce que l’on ne peut garder\, malgré les d épôts\, malgré les affects. Respirer était donc pour moi ce concept aux nu ances douces et amères\, symbole de cette petite tempête\, belle mais diff icile\, qu’il nous faut traverser au cours de notre existence.\nCette expo sition s’est donc pensée comme mettant en lumière les moments de calme\, d e tension\, de silence et de bruit\, l’espoir de se retrouver parfois\, re venir vers soi. Dans cet élan cathartique qui débute en premier lieu par u n cheminement intérieur. DTSTART;VALUE=DATE:20210922 DTEND;VALUE=DATE:20211031 SEQUENCE:0 SUMMARY:RESPIRER SE RETROUVER – YOANN LEGROS X-COST-TYPE:free X-WP-IMAGES-URL:thumbnail\;https://ccjt.fr/wp-content/uploads/2020/07/RESPI RER-SE-RETROUVER-YOANN-LEGROS-©-YOANN-LEGROS-150x150.jpg\;150\;150\;1\,med ium\;https://ccjt.fr/wp-content/uploads/2020/07/RESPIRER-SE-RETROUVER-YOAN N-LEGROS-©-YOANN-LEGROS-300x200.jpg\;300\;200\;1\,large\;https://ccjt.fr/w p-content/uploads/2020/07/RESPIRER-SE-RETROUVER-YOANN-LEGROS-©-YOANN-LEGRO S-1024x683.jpg\;1024\;683\;1\,full\;https://ccjt.fr/wp-content/uploads/202 0/07/RESPIRER-SE-RETROUVER-YOANN-LEGROS-©-YOANN-LEGROS.jpg\;2048\;1365\; X-ALT-DESC;FMTTYPE=text/html:\\n\\n
\\nInspirer : se gorger d’énergie et pourtant prendre ce qui vient sans avoir conscience im médiatement de ce dont il s’agit. Expirer : se défaire des tensions\, bonn es ou mauvaises\, expulser au possible ce que l’on ne peut garder\, malgré les dépôts\, malgré les affects. Respirer était donc pour moi ce concept aux nuances douces et amères\, symbole de cette petite tempête\, belle mai s difficile\, qu’il nous faut traverser au cours de notre existence.
\nCette exposition s’est donc pensée comme mettant en lumière les moments de calme\, de tension\, de silence et de bruit\, l’espoir de se retrouver parfois\, revenir vers soi. Dans cet élan cathartique qui débute en premi er lieu par un cheminement intérieur.
\nCette année\, les f ilms (courts et longs-métrages\, d’animation ou de patrimoine) s’organisen t autour d’un thème commun : la technique du stop-motion\, qui consiste à animer des personnages en trois dimensions\, image par image. Un travail t itanesque mais qui permet aux petits comme aux grands de s’émerveiller ! p>\n
La sélection 2021 proposera des classiques du genre\, devenu culte par leur dimension aussi bien technique qu’artistique\, mais également des objets plus rares venus des quatre coins du monde.
\nUn rendez-vous pour les familles et les scolaires à ne pas manquer… pour continuer à rêv er !
\nC’est lors de la rencontre entre ces différents art istes d’horizons multiples et de la Compagnie des Invisibles qu’émerge le projet FRACTURE(S).
\nEn effet\, tous nourrissent des questionnement s liés à la confrontation de l’individu face à la société et cela a été le point de départ de ce projet qui découle de l’ambition d’établir une gale rie de portraits du territoire\, de ses habitants\, de leurs présences\, d e leurs inconscients et de leurs corporalités.
\nL’axe central de ce projet questionne la notion d’identité. L’acte artistique qui émerge de c es questions s’articule autour de la création d’un langage dans lequel est développée une approche sensible et spécifique du corps mis en scène.
\nFRACTURE(S) interroge la qualité d’être et tente de faire naître les prises de conscience sur l’être en soi présent en chacun de nous et son ra pport avec le monde extérieur physique et concret. C’est un projet de terr itoire nourrit de ses habitants et de leurs rencontres avec des artistes p lasticiens\, illustrateurs\, photographes\, metteurs en scène\, acteurs\, marionnettistes pour tenter de trouver des réponses à ces questions existe ntielles et communes qui nous lient tous. Il s’agit ici d’essayer de rappr ocher l’être humain de son environnement\, de connaître son rapport avec l a matière\, que ce soit pour le détruire ou pour l’accepter et vivre en sy mbiose.
\nVous l’aurez compris\, les fractures peuvent être polymorp hes de sens : elles peuvent être internes (psychique) comme externes (corp orelle)\, individuelles comme collectives\, sociales comme économiques.
\nFRACTURE(S) est un projet pluridisciplinaire qui a un double objecti f : Le premier est un objectif social\, celui de mettre en avant l’histoir e individuelle des habitants du territoire de la métropole\, de leur lien avec leur quartier et l’histoire collective de ces derniers. Chaque indivi du a un rapport différent avec son environnement. Ce projet consiste ainsi à donner la parole aux habitants pour qu’ils partagent «LEURS PAYSAGES». Par paysage\, nous entendons « LEURS PAYSAGES INTERIEURS »\, leur sensibil ité\, leur imaginaires ainsi que leurs points de vues sur les divergences sociales qui nous entourent et qu’ils peuvent vivre au quotidien\, leurs ê tres profonds\, leurs inconscients. La transmission de ces regards singuli ers qualifie notre engagement artistique sur votre territoire. Quel meille ur moyen de raconter une ville que celui de raconter ses habitants ?
\nAinsi la présence de deux artistes plasticiennes\, photographes et l’en gagement de plusieurs comédiens professionnels de la Compagnie des Invisib les sur un ensemble de cinq quartiers du territoire\, vient composer avec l’image et les personnalités des habitants lors de séances photos en extér ieurs\, de balades contées et de happening artistiques où la création se c o-construit sur la base de rencontres.
\nDeux artistes donc deux vis ions différentes des interactions entre les corps et la ville. Les deux ph otographes apportent des visions et des conceptions différentes de la frac ture\, de la fissure. L’une s’intéresse aux fractures psychiques de l’être \, la dualité de l’être\, les troubles qui émergent lors de la cassure de l’esprit. L’autre souhaite questionner les fractures physiques dans la vil le : fissures murales et leurs interactions avec l’être humain…
\nUn projet lourd de sens qui établira ainsi un portrait multi-facette de la p ersonnalité et de l’esprit en soulignant sa diversité d’être\, sa diversit é de pensées\, sa diversité sociale…
\n► Jeudi 13 octobre à 14h30 (A) et 19h30 (B)
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► Vendredi 14 octobre à 10h (B) et 19h30 (A)
\n► Dimanche 16 octobre
à 16h30 (A+B)
\n► Mardi 18 octobre à 19h30 (A+B)
\n► Mercredi 19
octobre à 19h30 (A+B)
\n► Jeudi 20 octobre à 10h (A) et 19h30 (B)
\n« Douze tex tes\, mais nous en jouerons quatre\, ou six\, pour percer à jour toute la malice et l’œil acéré d’Alain Knapp\, dramaturge et pédagogue\, qui nous a tout appris.
\nLes Apologues n’ont aucun rapport les uns a vec les autres\, mais se soudent autour de la plume et l’expérience d’Alai n\, mélange improbable mais réussi de ses inspirations de toujours : Berto lt Brecht\, Thomas Bernhard\, Molière… Tout y est : action\, suspense\, mé lodrame\, absurdité\, et tout y passe\, la Suisse\, les jeunes\, les vieux \, la politique\, la gauche\, la droite\, bourgeois\, patrons…
\nDéc liné en deux programmes A et B\, Les Apologues auront aussi le dr oit à quelques intégrales !
\nEn chansons\, comme à notre habitude\, nous jouerons ces Apologues avec énergie et humour\, pour divert ir\, et réfléchir\, sur ce que le théâtre peut nous montrer.
\nOn fa it comme on a dit ! »
\nOlivier Mellor – Metteur en scène
Ecrite avec le Chili du général Pinochet comme référence historique\, la pièce dont le ti tre original\, Tejas Verdes\, est le nom d’un célèbre centre de détention et de torture de l’ère du dictateur chilien\, a pour personnage central un e jeune disparue. Celle-ci\, qui apparait elle-même dans la première et la dernière de ces sept scènes\, est présentée\, « racontée » par\, dans l’o rdre\, une de ses amies\, une doctoresse l’ayant soignée\, une fossoyeuse\ , sa délatrice et une avocate espagnole au service de la dictature chilien ne.
\nCette pièce qui va au-delà de la seule expérience chilienne es t donc un hommage aux disparu-e-s de tous les drames politiques de tous le s pays.
\nDe l’A rmistice à la crise de 1929\, entre les emballements d’une économie boosté e à la spéculation et le dénuement des laissés pour compte\, Amok 1920 s’a ncre dans un jeu de résonances entre présent et passé en s’attachant à la formidable énergie que ces années insufflent en terme de liberté d’express ion (le surréalisme\, l’avant-garde de Montparnasse)\, de résistance (le j azz en période de ségrégation raciale) et d’insolence (la chaotique émanci pation des femmes\, la charge érotique comme pied de nez aux codes bourgeo is et au colonialisme…).
\nAmok 1920 permet au trio Adèle Chignon (v oix\, guitare\, contrebasse) d’aborder un répertoire musical vaste et cosm opolite\, qui s’étend du chant lyrique (Erik Satie) au caf’conc’ (Kiki de Montparnasse\, Marie Dubas\, Maurice Chevalier)\, de la chanson réaliste ( Fréhel\, Berthe Sylva) au tango (Kurt Weil) en passant par le jazz (Duke E llington\, Cab Callaway)\, le gospel (Mahalia Jackson) et le blues (Bessie Smith\, Louis Armstrong)…
\nA la lisière de la musique et du théâtr e\, Amok 1920 s’articule autour de la folie qui s’est emparée de ces année s avant que les dérives de la finance et le crack boursier ne mettent brut alement fin à la fête.
\nC’est une folie que cette histoire de couples en crise\, d’Olympe en révolte\, d’Enfers orgiaques où chacun ne pense qu’à son propre plaisi r et ne rêve que de fête\, de séduction\, d’amour et s’en donne à cœur joi e ! Tout brille dans cet opéra\, tout est prétexte à chansons\, la verve s atirique de son livret autant que la qualité de sa partition musicale sont proprement jubilatoires !
\nUn et Deu x sont employés chez Interklang\, l’usine où l’on produit les meilleurs Kl ang ! du marché. Pourtant\, même sans machine et avec toutes les aides pos sibles\, c’est encore trop cher pour leurs patrons. La pépinière de réinse rtion pourra-t-elle les aider à trouver la solution ?
\nLa musicalit é de la langue d’Emmanuel Darley\, les rythmes des personnages et la volon té de faire rire sur ce que ce monde peut avoir de violent ne seront pas s ans évoquer l’univers de Tati ou de Chaplin.
\nDes bonhommes-cartons s ans tête. Juste un corps-boîte\, des jambes et des bras. Des bonhommes-car tons très différents… Et des rencontres. Pour s’imiter\, se ressembler\, s e confondre\, s’affronter\, se différencier\, se surprendre\, se découvrir \, s’accepter…
\nQui\, dans son enfance\, n’a jamais ressenti cette désagréable impression de ne pas être comme les autres\, d’être hors du gr oupe ? Qui de ces enfants devenus adultes ne sourit pas aujourd’hui\, amèr ement ou pleinement\, de ses souvenirs d’exclusion ?
\nAttention fra gile ! a pour but de sensibiliser les enfants à la richesse du vivre ensem ble. Vivre avec les autres est plus simple et plus enrichissant que de viv re contre.
\nDes interrogatio ns sur ce monde\, l’auteure Frédérique Charpentier en avait plein quand el le était petite dans les années 80 au 20ème siècle. Devenue adu lte\, c’est avec les observations des enfants d’aujourd’hui qu’elle essaye de comprendre en quoi elle s’est transformée…
\nL’enfant a un grand besoin d’investigation et (se) pose des questions qui peuvent bouleverser ou même déranger l’adulte que nous sommes devenus. Avec A nos adultes \, nous donnons la parole à l’enfant-penseur\, celui qui a le droit d e questionner le monde qui l’entoure et d’exprimer son opinion sur la vie.
\nLa nature a tout inventé. Elle a conçu toutes les manières de se dépl acer\, supprimé les ailes à certains oiseaux et paré de lumignons les créa tures abyssales. Elle a créé mille formes et couleurs pour dissimuler et d uper ou\, au contraire\, éblouir et séduire.
\nExtranimal propose un voyage à travers les comportements fascinants de certains animaux\, comme une ouverture sur le monde\, ses bizarreries\, ses fantaisies \; une faço n de s’en émerveiller\, de les accepter aussi. Tout est là\, avant nous\, sous nos pieds\, à portée de main. Il suffit d’observer…
\nAprès la couleur bleue et le tissu bleu manipulé dans Bout de Bleu (création 201 8)\, Ronde Rouge est un grand ballon rouge qui déplace un personnage dans l’espace pour pouvoir explorer un monde jalonné de cubes rouges d’où émerg ent des surprises\, des danses et des mots.
\nLe mouvement\, la paro le et le paysage sonore se répondent et tissent une trajectoire au personn age. A travers cet apprivoisement du monde\, il se découvre\, il devient l ui-même un monde\, une danse.
\nAu début\, au début il n’ y avait rien… Une respiration\, un souffle\, un petit rien du tout. Et pui s un froissement\, un pli\, une contraction\, un battement\, un ronflement \, une caresse\, un déchirement\, un écho\, une larme. Et tu es là\, tu fl ottes\, tu rampes\, tu t’étires tu luttes\, tu tombes\, tu plies et enfin tu t’élèves…
\nFabienne P ascaud – Télérama
\n\n\n« Un texte essenti el et un spectacle magnifique. »
\nJérôme Garcin – Le Masque et la Plume – France Inter
Septembre 1968. Rob ert se fait embaucher comme ouvrier spécialisé à l’usine Citroën de la por te de Choisy. Il devient « établi ». L’Etabli c’est l’histoire d’une grève . C’est une épopée d’un an\, juste après les événements\, un trop-plein de bruits\, de gestes répétés\, de paroles d’ouvriers\, de solitude\, de déc ouragement\, et aussi de joie mais aussi d’espoir\, de solidarité et de fr aternité. Musique industrielle en live\, mur d’acier\, fumée\, odeurs\, vi déos\, tout immerge le spectateur dans cette expérience humaine : ces mois de chaîne\, avec les méthodes de surveillance et de répression\, la résis tance et la grève. Le spectacle est un hommage à l’engagement et au récit autobiographique de Robert Linhart\, qui raconte magistralement ce que c’e st\, pour un français ou un immigré\, d’être ouvrier dans une grande entre prise de la région parisienne.
\nThéâtre / Création – Dès 12 ans – 1h45 / Tarif 1► Jeudi 20 janvier à 14h30 et 19h30
\nBeaucoup de personnes pensent que le monstre du roman de Ma ry Shelley se nomme Frankenstein. L’une des tragédies de l’œuvre est qu’on ne lui donne même pas la dignité d’un nom. Ici\, l’histoire est racontée à travers le prisme de la créature : elle y narre sa naissance\, son aband on\, sa découverte du monde et cette humanité à laquelle elle se confronte \, cherche sa place. Elle questionne son existence et son rapport à l’autr e. La créature naît pure et sera confrontée à la dureté et la complexité d e l’espèce humaine\, tout particulièrement à sa violence. Le besoin de ces réponses\, comme moteur de la pièce\, pousse la créature à lutter contre le rejet par tous les moyens\, allant jusqu’au meurtre\, la faisant deveni r le monstre que tout le monde voit en elle.
\nAttitudes féminines ? Injonctions masculines ? Principes de lib erté ? Sexualité ? Travail du sexe ? Droits ? Stigmatisation ? Mépris ? Tr ois individus s’expriment\, se répondent et se confondent quelque part dan s le néant\, le réel ou l’inconscient…
\nLe temps d’une représentati on\, Barboteuses questionne et donne à entendre quelques réalités qui semb lent nous dépasser\, mais qui ne sont pas si loin de nous finalement.
\nUn titre qui sonne comme un ti tre de chanson\, de ces chansons réalistes et édifiantes\, une Murder Ball ad\, dans le nord de l’Angleterre\, qui va mener nos deux jeunes héros jus qu’en Ecosse. Au départ\, une embrouille comme une autre entre un beau-pèr e et un adolescent. Un coup de surin\, et le road trip commence. Lee ramas se Leila\, une gamine paumée qui ne se sent vivre que lorsque qu’elle se s carifie les poignets et les voilà partis à la recherche du véritable père de Lee\, à la recherche de celui qui pourra les sortir du pétrin\, à la re cherche d’eux-mêmes. Ken Loach n’est pas loin\, avec sa grande dose d’huma nité\, de cette humanité qui nous fait voir la lumière et la beauté dans l a nuit.
\nAprès Dunsinane\, le CaBaret GraBuge continue à explorer l ’univers de David Greig : on y retrouve l’Ecosse\, ses paysages\, mais une Ecosse d’aujourd’hui\, dont la nature continue à forger le destin des gen s qui vont s’y perdre pour mieux savoir qui ils sont.
\n\n\n« Il est temps que nos cœurs rejoignent les étoiles. »
\nExtrait – Mes nuits son t plus belles que le monde
Sur une scène couverte de bougies\, une femme en robe de mariée raconte la tragédie qui s’est ab attue sur elle. Le jour de son mariage\, son fiancé est mort dans un accid ent de voiture\, la laissant seule devant l’autel en proie au plus profond des désespoirs. Mais qu’en est-il réellement ?
\nMes nuits sont plu s belles que le monde est un seule en scène oscillant entre l’humour noir et le drame pathétique d’une femme en quête d’une certaine forme de bonheu r auquel nous aspirons toutes et tous d’une manière ou d’une autre.
\n< /div>\nLa fin du monde approc he. Et vous êtes\, chers passagers\, à bord d’un vaisseau qui vous emmèner a dans l’espace. Cependant\, une heure avant le décollage\, un problème te chnique survient. C’est durant ce temps incertain que nous allons retracer ensemble les raisons qui nous ont menés à cette fin du monde.
\nPar le rire\, le fantastique et la science-fiction\, Chroniques de la fin (de s mondes) interroge la notion de fin en exposant la vie de personnages qui vivent une fin du monde. Que celle-ci soit quotidienne\, tragique\, poéti que ou qu’elle touche à vos plus intimes convictions\, nous vous garantiss ons un voyage surprenant où il y a un après.
\nChroniques de la fin (des mondes) est librement adapté de la pièce Chroniques de Peter Sanchidr ian de José Padilla aux Editions Les Solitaires Intempestifs.
\nA partir de l’idée d’avoir un bébé\, la conversation q u’engage le couple que forment F et H traverse toute leur histoire et inte rroge autant l’état du monde que la question de l’engagement.
\nCe q ui sous-tend leur relation au monde\, et qui se manifeste de manière éclat ée et plurielle\, c’est la peur. Face à une pluralité de défis – l’urgence écologique\, le terrorisme\, un monde libéral peu enclin à favoriser le b ien commun… -\, leur dialogue autour d’un avenir à construire emprunte des chemins ni balisés ni attendus\, des chemins vivifiants laissant surgir h umour et émotion.
\nLa mise en scène d’Arnaud Anckaert accorde au ry thme et au sens des mots toute leur amplitude\, dans un espace très épuré. La crise symptomatique qui éprouve ce couple de trentenaires traduit une immense incertitude face à l’avenir.
\nInterprétée par Shams El Karo ui et Maxime Guyon\, la partition révèle l’essentiel avec finesse et sensi bilité.
\nL’action se situe en 56 à Rome\, et mêle intimement rivalité amo ureuse et conflit politique : après avoir empoisonné l’Empereur Claudius\, son troisième mari\, qui lui-même l’avait épousé en secondes noces\, Agri ppine a écarté du pouvoir Britannicus\, fils de Claudius et prince légitim e\, au profit de son propre fils\, le tumultueux Néron…
\nMais Brita nnicus et Néron\, demi-frères ennemis\, sont amoureux l’un et l’autre de l a princesse Junie. Face au jeune Empereur en proie à ses mauvais instincts \, Junie doit faire un choix déchirant : ou bien rester fidèle à Britannic us\, Prince déchu\, et provoquer sa mort\, ou bien lui sauver la vie et sa crifier son amour en cédant aux avances de Néron. Les intérêts politiques et les trahisons\, et la fureur naissante de Néron\, cavalier seul\, dicta teur débutant et cruel\, auront raison de cet amour…
\nCréé en 2021 en plein confinement\, Britannicus revient (enfin) en 2022\, à Amiens mais aussi tout mai à Paris…
\nEn France. Un appartement vide. Des cartons. Un homme attend. Il a attendu pendant des mois. La femme rentre. Le couple se retrouve dans un nouveau nid\, un futur chez eux.
\nA Dacca\, à des milliers de k ilomètres\, l’usine textile du Rana Plaza s’effondre. Plus de mille cent m orts. Les étiquettes de Camaïeu\, Carrefour\, Auchan\, Mango\, Benetton so nt retrouvées dans les décombres.
\nEntre ces deux événements lointa ins\, quel fil peut se tisser ?
\n\n\n« Jamais il n’y eut d’histoire plus douloureuse que celle de Juliette et de son Roméo… »< /h4>\n
William Shakespeare
Un hymne à l’amour \, une ode à la mort. Un bonheur à portée de main que le poing du destin s ’acharne à écraser. La fraîcheur et la vitalité de la jeunesse que le mond e cherche à cadenasser et raisonner. Une tragédie ésotérique\, où l’expéri ence de l’amour ne peut que s’accomplir dans la séparation terrestre des d eux amants\, propice à leur union dans le céleste.
\nAprès Le Malade imaginaire et Cyrano de Bergerac\, le Rollmops Théâtre s’attaque à un nou veau monument du répertoire et met toute sa créativité\, son imaginaire et sa générosité pour sublimer le texte du Barde de Stratford. Quelle plus b elle histoire à vous conter que celle des mythiques amants de Vérone ?
\nÇa glisse\, ça teste le (dés)équilibre\, ça hache et ça s’abat. Au final\, on a du mal à trancher sur ce qui nous é pate le plus\, l’habileté des artistes ou l’imprévisibilité des objets.
\nRythmés avec de la musique en live\, les mouvements dansés et acroba tiques se mêlent entre la manipulation de haches et les acrobaties au mât chinois.
\nPluridisciplinaire – T out public – De 15h à 21h – Gratuit
\n► Samedi 10 septembre (en exté rieur)
\nToux læ monde connaît désormais BЯOUCHKI : s un vie\, sun œuvre\, ses exploits sportix et sun passion pour læ Nikitou…< /p>\n
Mais cæ que læ grandx public ignore encore\, c’est que BЯOUCHKI in venta\, entre deux expositionx à San Francisco en 1966\, an système de lan gage et d’écriture inclusive non binaire (dont cæ texte emprunte læ gramma ire exact-e).
\nAutour de læ non-binarité et de læ multiplicité des disciplines non genré-e-s LBGTQIA2+\, nous vous convions à d’absurdes vict uailles de l’esprit !
\nAu programme : an journée étrange et joyeuse -s\, des expos\, des concerts\, des spectacles\, pour fêter læ nouvel-le s aison !
\nPetit-e-s et grand-e-s\, nous vous attendons nombreux-ses !
\n► Mercredi 26 octobre à 18h
\nInspiré des albums La pire d es princesses et Le pire des chevaliers d’Anna Kempf et Sara h Ogilvie\, ce spectacle met en scène des princesses et des chevaliers qui se jouent des stéréotypes et parviennent à les dépasser\, avec impertinen ce\, humour et sensibilité.
\nTrois comédiennes vous invitent à le d écouvrir\, sans froufrous\, sans chichis\, en flonflons\, en histoires et en chansons.
\n► Mercredi 16 no
vembre à 11h (bibliothèque Le Petit Prince)
\n► Mercredi 16 novembre
à 16h30 (médiathèque Léopold Sédar Senghor)
Adapter les aventures du prince de Motordu près de 40 ans après leur parution semble plus que j amais d’actualité. Ces œuvres fondamentales de la littérature jeunesse son t une passerelle entre les générations pour transmettre l’art du langage\, le goût pour la lecture et la fantaisie des mots.
\nDans La bel le lisse poire du prince de Motordu\, PEF aborde grâce au rire et à l’insolite un sujet très profond : la différence. Ce prince de Motordu n’e st pas comme tout le monde et ce n’est pas facile pour lui.
\n► Mercredi 23 novembre à 16h30 (médiathèque Léopold Sédar Senghor)
\nMêlant danse et jeu clownesque\ , cette nouvelle création du Collectif 4e Souffle aborde la question du pa rtage. On y découvre deux personnages féminins aux caractères bien trempés . Entre elles\, des ballons\, objets de tous leurs désirs et ce mystère : comment faire pour jouer avec l’autre ? Pour s’entendre et se comprendre quand on est si différents ? Un spectacle à voir en famille.
\nDepui s 2011\, le 4e Souffle propose des spectacles transdisciplinair es issus d’une écriture de plateau qui posent un regard amusé sur la socié té et sur l’humain.
\n► Vendredi 2 décembre à 20h30
\nQuatre comédiennes disposent d’un auteur plus que d’un texte\, d’un metteur en scène\, de costumes\, de lumière\, mais elles semblent abandonnées chaque soir sur le plateau.
\nTout est pourtant prêt pour la représentation mais rien ne fait réell ement sens. Elles n’ont qu’une certitude : le devoir de paraître sur scène \, de susciter les regards et de s’en nourrir ou simplement de les subir e t de les affronter. D’abord\, ils nous regardent… et après ?
\n► Jeudi 9 décembre à 20h30
\nC’est le grand jour ! Un homme étrange s’affaire sur scène aux derniers préparatifs. Dans quelques instants\, il va présenter son premier spectacle mécanique et musical. Les lumières de l a salle s’éteignent \; il lance sa boîte à musique aux rouages complexes e t nous invite dans son imaginaire loufoque.
\n► Mardi 24 janvier à 14h30 et 19h30
\n► Mer
credi 25 janvier à 19h30
\n► Jeudi 26 janvier à 10h
\n« Lors de nos échanges avec Charles Lee\, le metteur en scène\, nous av ons souligné la ressemblance entre les deux gâs de La chanson d’un gâs qu’ a mal tourné de Gaston Couté (création 2015 de la compagnie) et les person nages Vladimir et Estragon dans la pièce En attendant Godot. Deux clochard s célestes sont inspirés des personnages de Beckett : Ils trimballent leur vie et s’emparent de poésie et la partagent au gré de leur route\, pareil le à la quête de Vladimir et Estragon.
\nL’actualité nous questionne \, la période présente nous interroge.
\nToutes nos recherches et la période actuelle ont soulevé des questions : Qu’est-ce que nous attendons ? Que souhaitons-nous garder ? Quelle issue recherchons-nous ? Quels rêve s ? Quelle part d’utopie. »
\nAlexis Tripier – Responsable art istique
► Jeudi
2 février à 19h30
\n► Vendredi 3 février à 10h
Mélancolique ermite\, bougon mais néanmoins homme au gr and cœur\, Léon vit reclus dans son temple de la solitude où règne les bib elots chargés de souvenirs précieux. Mais LUI refuse de vieillir. Il ne pe ut pas y faire grand-chose sinon résister contre le temps qui passe.
\nUn beau matin\, comme tous les matins\, il est assis là\, à sa table en formica\, mangeant son morceau de pain et de camembert trempé dans le caf é. Il se souvient. Mais alors vient un élément qui va briser le fil de sa routine quotidienne\, un tout petit élément qui va tout chambouler.
\n< p>Une miette.\nDe ce tout petit grain de sable va naître une vérita ble chorégraphie effrénée qui entrainera Monsieur Léon à revivre sa vie\, ses amours\, ses bêtises d’enfants…
\n► Jeudi 9 février à 14h30 et 19h30
\nIl ne ressent ni douleur\, ni fièvre\, ni fa tigue particulière… Bertrand\, qui était tranquillement en train de confec tionner des confettis\, se retrouve pourtant allongé sur le sol\, incapabl e de bouger. Voisins\, amis\, parents proches ou éloignés\, médecin de fam ille\, journalistes : tous se pressent et se confrontent à l’inexplicable.
\nEtrange phénomène en effet qui interroge les rouages du monde et les relations humaines : peut-on s’arrêter dans une société égoïste où cha cun est sommé d’avancer ? Ancrant l’action dans l’effervescence des Trente Glorieuses\, Maxime Ganné orchestre sans temps mort un théâtre masqué sou lignant l’excentricité des personnages.
\nRappelant l’univers burles que des films de Jacques Tati\, la mise en scène joue de contrastes\, mêle subtilement aspects réalistes\, touches grotesques et plongées dans l’abs urde. Avec un humour qui fait mouche. »
\nAgnès Santi – Critique de théâtre
\n► Jeudi 2 mars à 14h30 et 19h30
\nPourquoi ici plutôt qu’ailleurs ?
\nTout au long de ce road-trip rural\, elle creuse des tunnels entre son passé da ns le corps de ferme de sa grand-mère et les multiples ailleurs qu’elle dé couvre au fil des rencontres paysannes.
\nLa Trouée ouvre s
a fenêtre en grand et invite le spectateur à venir gaigner* un peu par ici
.
\n*gaigner : observer en patois
Cécile Morelle explore dans ce seule-en-scène polyphonique l’idée d’un « corps-paysage » : est-ce que les paysages traversés étant enfant sont inscrits physiquement dans notre corps ? Est-ce que les figures locales épiées pendant l’enfance logent en core en nous ?
\n► Mercredi 8 mars à 16h30
\n► Jeudi
9 mars à 10h et 14h15
Être heureux\, n’est-ce pas ce que tout le monde recherche ? Dév eloppement personnel\, recherche du selfie parfait\, influenceurs modèles… Le bonheur est à notre époque une question intime qui touche tous les asp ects de la vie mais aussi une affaire de représentation sociale. Cependant \, une vie réussie est-elle nécessairement une vie heureuse ? Pourquoi dev rions-nous cacher nos émotions dites « négatives » ?
\nDans ce théât re de marionnettes aux esthétiques décalées\, des personnages aux petits p enchants criant de vérité nous questionnent sur notre quête du bonheur.
\nCe spectacle veut permettre à chacun d’interroger sa recherche du bo nheur et de faire son propre chemin dans ce labyrinthe où il est si facile de se perdre. Une poésie visuelle\, tendre et poignante qui en dit beauco up plus que les mots.
\nThéâtre – Radio / Création – Dè s 14 ans – 1h20 / Tarif spécial : 10€ (adulte) – 5 € (jeune)
\n► Mar
di 14 mars à 14h30 et 19h30
\nSpectacle joué au Théâtre Jacques Tati
/ Billetterie Comédie de Picardie
Ce soir\, Dona Sol est l’invitée d’Emilie Adlar sur le plateau de l’émission « Chuchote-moi à l’oreille ». Elle vient témoigner de la radicalité de son choix amoureux .
\nA la manière d’une chronique radiophonique jouée en live\, Audre y Bonnefoy\, metteuse en scène et Mona El Yafi\, dramaturge\, ont revisité ce chef d’œuvre de manière singulière\, en adoptant le point de vue du pe rsonnage féminin.
\nMêlant les alexandrins de Victor Hugo à une écri ture contemporaine\, elles donnent ainsi à voir et à entendre ce grand cla ssique sous un jour nouveau.
\n► Vendredi 17 mars à 20h30
\nUne belle-mère \, un chalet à la montagne et un bâton de ski. Pas vraiment les vacances !
\nCaroline et son fiancé sont en vacances de neige avec leurs amis quand ils voient avec stupeur\, débouler la belle-mère ! Cette dernière va enchaîner les gaffes et leur attirer les pires ennuis. Que dire du patron \, rencontré par hasard sur les pistes\, venu avec sa maîtresse et dont la femme va débarquer ? Que faire\, en outre\, du corps du guide de montagne que la belle-mère a vigoureusement assommé par erreur ?
\nDes situa tions désopilantes\, du rythme\, des répliques savoureuses\, des personnag es typés… bref\, du rire garanti.
\n► Mercredi 22 mars à 19h30 (épisodes 1 et 2)
\n► Jeudi 23 mars à 19h30 (épisodes 3 et 4)
Des galopins e t des galopines des rues de Lahore\, sous le canon Zam-Zamah\, vestige et symbole des guerres incessantes du Penjab (Nord-Ouest des Indes Orientales )\, se racontent la véritable histoire de Kim\, jeune orphelin irlandais d ’un soldat de l’armée des Indes\, enfant vagabond livré à lui-même\, qui s ’aventure dans l’univers incroyablement complexe des castes\, des magies\, des religions\, des royautés\, des principautés\, des armées régulières\, des bandes armées\, des traditions plusieurs fois millénaires\, et des mo dernités barbares qui sont autant de mondes où se côtoient les plus grande s détresses et les plus grandes richesses\, les plus obscures folies et le s plus belles sagesses.
\nDevenu le chela (le disciple mend iant) d’un lama (moine) thibétain à chapeau rouge qui suit les pa s du Bouddha\, il côtoie les engagements sanglants des grandes puissances occidentales et orientales\, il se faufile dans les rapports conflictuels des innombrables cultures juxtaposées et superposées du « grand et beau pa ys de l’Hind » dont il entend « le rugissement incessant » et qu’il aime « plus que tout au monde ».
\nCurieux de la pluralité des mondes et des êtres humains\, d’aventures en aventures\, il se construit en voyagean t d’humanités en humanités.
\n► Jeudi 30 mars à 14h30 et 19h3 0
\nEmportés par un tourbillon de situations kafkaïennes afin de réussir à être en règle sur le territoire français\, une multitude de pers onnages nous font vivre des parcours interminables où l’humour surgit parf ois au milieu de ces méandres ubuesques.
\nMêlant à la fois théâtre\ , musique\, danse\, vidéo et films d’animation\, le spectacle révèle comme nt français et exilés combattent ensemble au quotidien. Les mots se distil lent au fil d’un crescendo inexorable utilisant aussi le rap\, mêlant parf ois plusieurs langues (français\, anglais\, portugais\, arabe). La parole se déverse et se réinvente perpétuellement : du silence au bruit\, du brui t au cri\, du cri à l’explosion.
\nLecture performée – Dès 15 ans – 1h / Tarif unique : 5€
\n► Mardi 4 avril à 18h15
\nL’artiste sonore Zo uheir Atbane crée pour cette lecture un environnement sonore à partir d’en registrements de berceuses marocaines immémoriales que Soukaina Habiballah a enregistré auprès de très vieilles femmes marocaines (en plusieurs lang ues parlées au Maroc : amazigh\, darija\, sahraoui…).
\n► Jeudi 6 avri l à 19h
\nCette création entre danse et performance interroge avec vigueur les formes de colonialisme mod erne. Le célèbre morceau de Ravel devient un prétexte pour parler d’intégr ation.
\nNés à Cuba au mitan des années 90 et vivant aujourd’hui à M arseille et Berlin\, les trois interprètes livrent une réflexion sans conc ession sur l’exil et l’identité et l’intégration sociale. Ils s’emparent d u Boléro de Ravel\, emblématique de la culture occidentale\, pour lui donn er une coloration plus métissée. Au fil de leur cheminement\, les corps de ces artistes se heurtent au Boléro\, mettant en crise des formes de colon ialisme culturel.
\nUne performance qui bouscule et interroge : que signifie faire partie d’un peuple aujourd’hui ?
\nThéâtre contemporain / Créat ion – Dès 13 ans – 1h30 / Tarif 1
\n► Jeudi 11 mai à 14h30 et 19h30< /p>\n
Cette autrice me fascine. Une plume vive\, sèche\, cassante\ , concrète. Au moyen de ses personnages\, elle provoque une troublante ide ntification de notre être et offre le pouvoir à chacun de se reconnaître\, de se recentrer sur son intimité. Il s’agit d’explorer\, de se disséquer\ , de tirer de cette introspection une conclusion sur nous-mêmes et nos tem ps troublés. L’Amour de Phèdre cherche des réponses. Elle interro ge nos divisions\, soulève nos inégalités et pointe du doigt notre rupture sociale. Elle relève le miroir de notre quotidien dans une société noyée par une évolution qui cause sa chute.
\nPuis\, il y a ce contraste e ntre la modernité du texte et ses inspirations mythologiques \; un parallè le intéressant à traiter sur un plateau de théâtre dans l’atmosphère et le s énergies qui s’en dégagent où se mêlent humour\, moquerie et tension. Au centre\, comme un embryon : un besoin de trouver des solutions aux manque s\, à la tristesse\, à la mélancolie\, à la décomposition de l’âme en donn ant la réponse que l’amour et l’extase peuvent sauver. »
\nVicto r Robert – Metteur en scène
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