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Le Centre Culturel Jacques Tati s’associe au 37ème Festival international du film d’Amiens pour proposer une programmation (en cours) de films d’animation jeune public à destination des scolaires mais aussi des familles dans le cadre de la section ciné parents-enfants du FIFAM.

Dans leurs valises, des jouets, des objets, des instruments divers. Un cochon rose, une sorcière, une guitare, un piano-jouet, une mandoline, des jouets pour chien…

Nombril est un voyage radiographique et chorégraphique au plus près des mystères de notre corps.

La boîte à joujoux est un conte musical de Claude Debussy et André Hellé mis en scène par Maud Morillon et interprété par Laurent Deleuil et Nicolas Royez.

Muserolle : Voici la question en deux mots : Z a épousé X et X roucoule avec Y : doit-on le dire à Z ? Le Marquis : (qui n’a pas compris) Por favor ? (Doit-on le dire ?, acte II, scène 9).

L’Établi désigne d’abord les quelques centaines de militants intellectuels qui, à partir de 1967, s’embauchaient, « s’établissaient » dans les usines.

C’est quoi ce corps ? Burp, gloup, roooh, psssss, atchoum, prout… D’où viennent tous ces bruits ?

Timée* symbolise l’enfant dans son questionnement face au monde et à l’espace, de l’infiniment grand à l’infiniment petit.

Un centre de remise en forme, six femmes, un homme, un mariage prévu… et beaucoup de commentaires !

Que sont devenus les hommes ?

Le Théâtre convie l’Histoire et les petites gens… Quand le Théâtre s’appuie sur l’Histoire, il ne doit cependant pas rogner sur sa fonction première de divertissement tout en éveillant les consciences…

Dans un village de campagne verdoyante, Julie aime Eraste, qui l’aime. Mais voici Léonard de Pourceaugnac, venu de la ville pour l’épouser, comme le père de Julie et lui-même l’ont convenu.

Deuxième spectacle du trio Adèle Chignon, Comme en 14 ! propose une plongée au cœur de l’été 1914.

Pour cet album stellaire, tout est vu à l’épure et tourné vers la fragilité et l’émotion : arrangements et orchestration en quintet et enregistrement en direct, tous disposés en cercle dans le grand studio boisé et vintage de Midilive.

A Vérone, où les familles Capulet et Montaigu se vouent une haine ancestrale, s’affrontant dans les rues en toutes occasions, est donné un bal.

Il s’agit d’une écriture physique, d’une forme hybride entre documentaire immersion et interprétation chorégraphique.

Un projet artistique qui insère des idées contemporaines et vivantes d’œuvres d’art dans la zone urbaine.

Voilées invite à remettre en question notre propre manière de regarder et à repenser des problématiques telles que la laïcité et la place de la spiritualité dans notre monde post-attentats.

Still Life explore librement et sans restriction la notion de nature morte, et nous invite à jouer avec nos sens, à les tromper. C’est une aventure loin de nos habitudes de regard.

Plus qu’un spectacle, On a fort mal dormi est une réflexion bouleversante sur notre condition humaine.

Cette pièce offre la cartographie humaine des désirs et des préoccupations d’un territoire. Corpus Volubile maintient en éveil la subversion, l’indignation et l’envie dans l’espace démocratique.

Une échappée poétique dans un univers de papier, sur la liberté d’expression.

Un solo dansé, poétique et visuel, dédié aux tout-petits spectateurs.

Des frontières et des limites, des peurs et des richesses à partager autrement

Des cultures et des vies singulières qui nous interrogent sur la précarité de nos espoirs.

« C’est d’abord l’histoire d’une usine. L’usine, elle a ouvert, je n’étais même pas née… Elle s’appelait Samsonite. Mamie et ses copines, elles fabriquaient des valises… ».

C’est le genre de décision qui survient quand soudain, l’intolérable nous percute et qu’on ne peut rester en dehors de la bataille à mener.

La question des représentations des immigrés et des étrangers est au cœur de la pièce, qui fonctionne comme un kaléidoscope faisant s’entrecroiser de multiples histoires et personnages, avec pour seul fil directeur un mot : « Abulkasem ».

Lino le Disloqué redonne au clown son rôle de passeur pour qu’il puisse créer un moment agréable et unique.

La compagnie a su de nouveau créer, avec son humour absurde et décalé, un monde tendre et poétique.

Des enjeux et des doutes qui ne sont pas sans rappeler ceux de notre époque.

Un spectacle engagé au cœur de la parole, du texte et de la chanson populaire.

A travers une forme résolument ludique, c’est cette question de la relation entre « aidant » et « aidé » qu’aborde Être là.

Une triple performance musicale et circassienne. Un spectacle poétique tout en sobriété.

BЯOUCHKI, c’est une journée dédiée aux arts de l’absurde, du décalage, du lamentable assumé.

« Dix acteurs et musiciens font de la représentation un espace-temps inouï de justesse (…) Ils font bloc, comme un vrai collectif soudé quoi qu’il advienne, autour d’une même nécessité. C’est le plus bel hommage qu’on pouvait rendre au texte de Linhart. Ce théâtre-là émeut, mais, surtout, fait sens. Et ça, c’est énorme. »

Fabienne Pascaud – Télérama

Un spectacle en noir et blanc, des personnages de papiers déchirés et des rencontres colorées par les sonorités de chansons du monde entier.

Des projections de films tout particulièrement sélectionnés pour les jeunes.

L’élégance, l’humour et la gaieté sont les maîtres mots de cette nouvelle création.

Le conteur Jean-Paul Mortagne vous invite en musique sur le chemin de la création.